jeudi 3 octobre 2019

Inktober 3 - non


Aujourd'hui, c'est un peu particulier.

En pensant à cette directrice de région parisienne, je fais grève d'Inktober.
Si vous ne savez pas de quoi je parle, vous pouvez lire 

Je suis partie aussi parce que je n'en pouvais plus de ce système qui nous demande toujours plus de bienveillance sans nous en donner les moyens, au point que la plupart des enseignants fuient en entendant ce mot... Et c'est triste, on en a besoin dans ce monde !

2 commentaires:

Xtra Bleu-Ciel a dit…

Probablement qu’un préalable à la bienveillance est le respect ?
Le respect ça change la vie! est une initiative locale déjà adolescente, qui tente de faire évoluer les mentalités, avec plus ou moins de succès ...

À lire ce qui s’est passé à l’école primaire Jules Verne à Agde en début de semaine, on est encore loin du compte et votre généralisation a du sens, qui s’oppose au sens du devoir que l’on attend de l’enseignant/e.

La difficulté particulière dans votre (ex-)domaine est l’implication du « public » que sont les parents, des « clients » captifs non contractuels et non ciblés, et l’évolution de l’enfance, souvent délaissée ou casée devant un écran, écran dont l’appétit l’abêti, avec des modèles adultes souvent déficients voire même parfois immatures ...
Bien sûr, nous sommes nous-mêmes les exceptions qui confirment la règle ! Il faut bien des extrêmes pour faire une moyenne ;)

Apparemment la grève continue ... ou est-ce juste le froid jeté par le thème du jour ?

Aurélie et Prosper a dit…

Oui, c'est pour pouvoir dire non et Renon. Les dessin des jours suivants arrivent.
Le respect oui, le changement de public aussi, mais il y a un réel problème de communication institution-enseignants aussi.