Cette semaine-là, j'ai fait quelque chose que je n'avais pas fait depuis... presque 10 ans !
J'ai déposé Captain B chez son papa, et j'ai pris ma voiture pour retrouver des collègue pas si virtuels à l'autre bout de la France. Ils avaient loué une trop grande maison et avaient eu la gentillesse de m'y inviter.
Je suis donc arrivée dans cette vieille maison anglaise au milieu du Lot, et de l'Aveyron. Si j'écrivais un roman, où la fille change de vie, il se passerait là, dans cette maison qui sentait un peu le renfermé, avec ses étagères pleines de livres en anglais, et son arbre généalogique de la famille royale anglaise dans les toilettes, arbre sur lequel Diana était encore en vie... Une maison avec des apéros sur le balcons, des après-midis dans la piscine, le passage des parapentes, les lézards, les cigales, les couchers de soleils...
Une maison pour se dire qu'on est encore en vie, pour recharger ses batteries...
3 commentaires:
Ne plus attendre 10 ans ;)))
L’avenir le dira. C’est quand même assez rare pour un parents de partir comme ça tant que son enfant n’est pas autonome. Une des «chances » de la garde alternée…
Effectivement, il existe une vie "en dehors" des enfants ;)
Ca reste un challenge de manger à deux râteliers (goûter à deux vies), même alternés; notre cerveau d’adulte est parfois prompt à culpabiliser.
Il faut parfois oser "charité bien ordonnée commence par soi-même" (grande expérience d’altruiste à l’appui;)
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