mercredi 29 janvier 2020

Dix-neuf...



(Le dinosaure faisait la sieste)
(La madame me croise dans ce quartier depuis toujours, ce n’est pas tout à fait une inconnue)



Pas de chute, juste l‘incongruité de la situation...
J’étais plus perturbée par le fait qu’on soit en plein milieu du passage piéton que par le ton de mon fils...

dimanche 26 janvier 2020

Personne ne m'aime - 4

Voilà enfin le 4ème article de la trilogie.


Vous savez bien, pourquoi je ne dis plus que personne ne m'aime.

Il y a 4 ans que tout a changé, que j'ai rencontré l'amour de ma vie.
Je ne suis pas sûre de grand chose concernant son éducation, mais je suis sûre que mon monde a changé en mille fois mieux depuis qu'il est là.



D'ailleurs, sur ce sujet, tellement difficile à dire sans tomber dans les grandes phrases neuneu, je vous invite vraiment à aller consulter les illustration de Yannick Vicente.
En voici une, par exemple, allez voir son Facebook ou son Instagram.
Ses dessins m'ont tellement touchée, que si j'essaie de prendre les crayons sur ce sujet, je n'en ferais qu'une pâle copie. Je laisse les siennes, donc.

Et c'est vrai que j'ai entendu souvent, dans les moments de colère, et particulièrement ceux où, moi, je ne m'aimais pas et où je n’étais pas à la hauteur...





Je ne dis plus "personne ne m'aime".


En espérant que vous avez trouvé ce déballage intéressant, 
je vous embrasse et vous souhaite un bon dimanche.

vendredi 24 janvier 2020

Personne ne m'aime - 3


Et voilà le dernier volet de cette saga... 
C'est le seul que j'ai un peu enjolivé, je devais vraiment vouloir que cette trilogie ait un happy end. 
Avant de retrouver ce texte, je n'avais aucun souvenir de cette anecdote, et même si je l'ai rédigée de façon romantique, certainement que Prosper (dont j'ai changé le prénom !) n'avait aucune ambition romantique, lui, juste envie de faire sourire une amie (ce qui est très sympa aussi)...

En vrai, je me souviens d'avoir eu honte, tellement honte, de n'avoir été aimée de personne.
J'avais 20 ans pour mon premier baiser...
Puisqu'on est dans les souvenirs douloureux, le voilà, d'ailleurs...

Plutôt décevant comme entrée en matière. Moi qui rêvais de paillettes et de romantisme, j'ai perdu un ami ce soir-là, car ce garçon ne m'a plus reparlé pendant des années, sans doute parce qu'il s'en voulait un peu d'avoir franchi une limite. Et moi j'ai découvert que l'amour pouvait faire bien mal. Je me suis sentie tellement coupable de ce moment-là...


Pourtant, j'attendais quand même ce prince charmant.
Pour être "en couple", comme tout le monde, mais aussi parce que je pensais que c'était ça qu'il me manquait, que cet homme en débarquant, me réparerait !

"Je suis nulle. Dis-moi ce que tu veux que je sois, je m'adapterais"
(j'ai voulu représenter un homme "idéal" pour moi. Il lui reste un petit air de Will Schuester.)

Il y avait peut-être une toute petite chance pour que je rencontre un homme comme ça, qui aurait eu la délicatesse et la motivation pour me mettre en confiance, m'encourager, me dire que j'étais assez, et qu'il n'y avait pas besoin de me réparer.

J'aurais aimé que ça se passe comme ça avec le père de mon fils.
Cependant, il y avait beaucoup plus de chances que je rencontre quelqu’un qui, puisque je le demandais, m'explique ce que je devrais être, et me noie sous les conseils...
Et c'est ce qui s'est passé. Je suis sortie de là avec encore plus de doutes...

Et j'étais très triste...
Cet Amour, que j'avais tant voulu, tant attendu, finalement, m'avait fait plus de mal que tout le reste.
 Quelle déception !  

J'ai compris la leçon.
Je suis seule et parfois ça me pèse. je voudrais parler à un adulte ne rentrant le soir, être câlinée, partager des projets.
Peut-être que je rencontrerai cette personne.
Mais je n'ai plus honte d'être seule, je ne me sens plus coupable de ça. 
Je ne veux plus de relation avec quelqu'un pour être comme tout le monde, parce qu'il me manque une partie de moi. Je me laisse le temps.

mercredi 22 janvier 2020

Personne ne m'aime - 2


Celui-là, aïe... Comme dans toute bonne trilogie (oui, j'ai dit qu'il y aurait 4 articles et je parle de trilogie, vous comprendrez plus tard !), le numéro deux est le plus sombre.
Mon projet initial était de vous montrer les 3 images d'un coup, sans trop de commentaires, surtout sur celle-ci, parce que je n'étais pas prête à parler de ce thème. Certaines remarques professionnelles et personnelles, et une conversation avec un plus si petit bonhomme m'ont convaincue.

A 12 ou à 21 ans, je n'avais pas les mots pour comprendre ce que je vivais, ni pour en mesurer les conséquences. Il s'agit de harcèlement, qui a, lui aussi été médiatisé depuis...

La raison pour laquelle, je ne voulais pas en parler est que je ne me sens pas guérie du tout !

A 35 ans, je suis bien consciente de toujours revivre le même schéma, celui où je suis dans le meilleur des cas exclue des groupes et des conversations, et où l'on se moque de moi. Et toute mon attitude engendre ça, je n'essaie plus vraiment de m'intégrer, je sais que ça finira comme ça.
Quand j'étais maitresse, j'aurais pu agir, mais j'avais peur, des harceleurs, même si c'étaient des élèves et moi la prof. J'ai toujours peur quand je rentre dans un collège...
Et je me sens coupable de ça. D'être différente et de provoquer les moqueries. De ne pas être aimable. De ne pas y arriver. C'est ma faute, je n'avais qu'à moins me faire remarquer, rentrer dans le moule.

Oui, je suis différente. 
Mon premier souvenir d'école, c'est justement cette sensation de voir tous ces autres interagir, sans bien comprendre ce qu'ils faisaient et pourquoi moi je n'étais pas comme eux. Accrochée à la jupe de ma mamie-maitresse, j'attendais patiemment l'heure de la sortie et la fin du supplice.
A l'heure qu'il est, je ne sais pas exactement d'où vient cette différence, ses causes (hypersensibilité, HPI, TSA, MnM's, SNCF ou RTL...), je commence juste à comprendre qu'elle est là, et qu'elle ne disparaitra pas.
Ce que j'ai envie de dire, c'est que, même si j'ai développé cette espèce de paralysie ridicule (je me ferme et j'attends que ça passe), ça n'a pas empêché tous ces mots, toutes ces remarques, tous ces regards fuyants et ces ricanements de me trouver et de me blesser. Bien joué les gars. 
Mais pourquoi ? Qu'est-ce que ça vous apporte ? En quoi ça vous gêne que je ne sois pas comme vous ?




Et puis ces derniers temps j'ai compris.  
Je suis une victime, je ne suis pas coupable.
C'est vrai que je suis différente, mais ça ne justifie pas de me faire souffrir pour ça.
On n'a pas le droit de blesser quelqu'un parce qu'il est différent.
Je suis victime, pas coupable.

(Je suis coupable de toutes les fois où j'ai participé à des moqueries pour détourner l'attention de moi, et aussi, de toutes les fois où je n'ai pas su dire ça aux enfants que je voyais souffrir. )

lundi 20 janvier 2020

Personne ne m'aime -1

Cette semaine, je me lance dans une série très personnelle de 4 articles.
Quand j'ai recherché mes vieux dessins, j'ai aussi retrouvé cette "autobiographie" que notre prof de français nous avait fait faire, en BTS. J'avais presque 21 ans.
Je me suis longtemps demandé si je devais le partager.
C'est très personnel, et ça parle de ce qui me fait mal. Le style ressemble déjà à ce qui, quelques années plus tard, donnerait naissance à ce blog. Les dessins sont moches, c'est vrai. C’était un devoir de français, fini un soir très tard, alors que j'avais plein de projets en art à terminer, alors je me suis plus attachée au texte qu'aux dessins !
On y retrouve des choses qui sont encore vraies, malheureusement. Et je n'arrête pas d'y penser depuis, j'ai encore des choses à dire sur ces points.Alors je me lance. Je vous montrer ce textes et je réponds à mon moi de 20 ans...


Cette partie-là traite de l'enfance, de ces colères que je ne savais pas maîtriser.

Qu'aurait-dit cette Aurélie de 21 ans en rencontrant mon/son fils ?
Et qu'aurait dit celle de 8 ans (je dirais plus 5-6 ans, maintenant que je vis avec un 4 ans et que j'ai travaillé avec des tas de petits !) ?

A 35 ans, je suis passée de l'autre côté de la barrière, c'est moi, maintenant, qui tente d'empêcher mon enfant d'exploser. Et les tendances éducatives ont changé !

Aujourd'hui, on parle d'éducation positive, bienveillante, on bannit les punitions, et on invite les enfants et leurs parents à accepter leurs émotions. C'est un long sujet. J'avais envie de vous raconter ce que je pense de tout ça, et puis, j'ai reçu et lu ce livre et comme il résume à peu près ce que j'ai à dire sur le sujet, en mieux, avec des références en prime, je vous conseille plutôt de le lire (et je peux le prêter, si quelqu'un est intéressé).
Pour moi, l'intéret de l'éducation positive, c'est de laisser le droit aux enfants de s'exprimer, tout simplement parce qu'ils sont aussi des êtres humains. Je trouve ça bien qu'un enfant puissent coopérer parce qu'il a envie d'aider ses parents, parce qu'il est convaincu que c'est bien. Je ne veux pas que mon fils m'obéisse parce que je suis une adulte et que les adultes commandent, point. Je ne veux pas le menacer de mille punitions, pour qu'il m'obéisse et qu'il ait peur de moi.
Pour être honnête, c'est une évidence pour moi, parce que c'est aussi comme ça que j'ai eu la chance d'être élevée.
Mes parents étaient extrêmement en avance sur ce point, et nous ont toujours laissé le droit de nous exprimer: pour avoir quelque chose, ils ne fallait pas être sage, mais prouver qu'on en avait besoin, trouver des arguments, et convaincre. On nous a beaucoup expliqué les choses, quand on le demandait. Nous avons aussi eu une éducation non-violente, avec très peu de punitions corporelles.
Mais oui, il est arrivé que nos parents perdent patience.
Et pourtant, quand mon petit a commencé à faire des crises et des colères, je me suis retrouvée à hurler aussi, à lui dire de se taire, que j'avais raison, à ne pas céder, à me laisser moi emporter dans des émotions violentes... alors que je n'avais jamais voulu ça.

 Parce que malgré tous nos beaux principes, il y a un moment où l'on atteint nos limites...
Mon père atteignait les siennes quand je me mettais à hurler, et moi qui détestais ça, je l'ai pourtant reproduit avec mon enfant.Et c'était terrible.  Et le passage sur le pardon !!! J'insiste tellement fort pour que mon petit s'excuse, alors que ça a toujours été extrêmement difficile pour moi de m'excuser
Faire des enfants, c'est aussi ça, se confronter à ses limites et ses failles. 

 Je comprends aussi que mon père devait s'en vouloir aussi, d'ailleurs. Je n'écris pas ça pour faire son procès, bien au contraire. Il a fait de son mieux, mais il n'était pas un superhéros, parce que personne ne l'est ! Et ce texte a été écrit à la fin de mon adolescence, de cette phase où j'avais besoin de critiquer mes parents pour m'en détacher.

C'était troublant de lire ça, comme un message prémonitoire. Un jour, quand mon fils était en colère, et que moi, j'avais appris à m'écouter plus, que j'avais assez dormi, je me suis assise à côté de lui et je lui ai raconté ça. Et je lui ai dit que je l'aimais, et tout ce que la petit Aurélie aurait voulu entendre. 
Non, il ne s'est pas calmé par magie.
Je ne sais pas si ça a aidé, s'il a grandi, si j'ai grandi, si on est juste plus heureux, ou si ces mots ont atteint leur but, mais les colères se calment...


samedi 18 janvier 2020

Faire plaisir...

Voilà une partie de moi que je n’aime pas trop: mon éternelle envie de faire plaisir...
Là, ces charmantes Témoins de Jéhovah ont monté tous les étages jusqu’à chez moi, alors ça m’embête de  leur dire cash que j’adore leur courage et leur foi, mais que jamais je ne partagerais leurs idées et que leur brochure, je l’ai lu, puis jetée parce que c’était vraiment n’importe quoi (précisément sur l’éducation des enfants).
Certains diraient que je sais écouter, d’autres que je suis hypocrite... Moi, je pense que je pourrais  plus m’écouter et commencer a croire que mon avis est important aussi !
Bon week-end !

mercredi 15 janvier 2020

Des commandes !

Je vous montre des illustrations que j'ai réalisées pour ce Noël.
Ce sont vraiment des choses que j’ai aimé faire, découvrir une famille, une histoire et la dessiner...Si je pouvais ne faire que ça comme travail, je serais ravie !


Cette petite famille a été dessinée d’après une photo.



Celle-ci, plus nombreuse, m’a demandé plus de recherches... Amélie m’a raconté des vacances qu’elle et sa famille ont aimées, et je me suis inspirée de leur photo pour les y représenter, avec leurs deux chiens.
Merci de m'avoir fait confiance !


Et comme j’ai beaucoup aimé réaliser ces dessins, je maintiens l’offre d’essai que je vous ai proposée avant Noël ( 1 illustration sur papier A5  à 50€ tout compris, même l’envoi).
Bon mercredi à tous !

samedi 11 janvier 2020

Que faire ?




Bien sûr ce dessin n’est pas réel. Je n’ai pas parlé de ces feux avec mon fils... C’est tellement effrayant, je ne savais pas quoi lui dire...
Et puis, on n’a que des jouets dragons, ici, et quelques dizaines de dinosaures, mais pas de wombat, ni de koalas...

Revenons-en au sujet qui me préoccupe !
Je me sens tellement impuissante ! Certains envoient de l’argent, mais l’argent n’éteint pas les feux !
Ça fait tristement  penser à cette citation indienne «  Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas. »
J’ai un instant pensé vendre certains dessins pour donner les bénéfices, mais c’est plus simple que vous donniez directement si vous le souhaitez ! Et qui suis-je pour vous dire quoi faire ?
Mais vite ! Ce scénario de science-fiction, où la Terre se détruit est en train de se passer, et on ne peut rien faire, ou si peu...On en revient à l’histoire du colibri, je réduis mes emballages, je trie, je marche   parce que c’est trop effrayant de ne rien faire, mais c’est si peu ! Surtout avec un dessin numérique, réalisé dans un logement chauffé, avec du wifi et des milliers d’autres composantes nocives dont j’ignore même le nom ou l’existence !

Conclure cet article par un « bon week-end à vous! » me semble paradoxal, mais on n’est plus à ça près... Profitez des bons moments quand même...
Bises.

mercredi 8 janvier 2020

Avant

Comme je suis un peu fatiguée (changements d’horaires et rentrée), je vous ressors aujourd’hui ces très vieux dessins, qui datent de mes études (entre 2003 et 2006, certains auront bientôt l’âge de voter !)


 J’avais oublié ce projet, qui date de ma première année de BTS Stylisme... Il fallait inventer un personnage et son style... je m'étais beaucoup amusé mais c'était pas très vendable !
J’ai fait ce BTS dans un lycée plutôt axé « haute couture snob » et moi, provinciale décalée, j’ai eu du mal à rentrer dans le cadre et surtout, à accepter que je n’y rentrais pas... Ces années furent difficiles.
J’ai encore du mal à comprendre la philosophie qui veut que l’on doit te « casser » pour te faire progresser! Pour moi, ça n’a jamais fonctionné, je suis bien meilleure quand on m’encourage...

J’ai ensuite retrouvé des croquis préparatoires et des planches pour ma collection de l’examen du BTS. On nous avait imposé le thème « enfance » et c’était une collection mi-vêtements ements, mi-déguisements... J’avais utilisé des photos de ma petite sœur (qui devait avoir à l'époque l’âge de mon fils





Et voilà la collection... on utilisait à peine l‘informatique !
Il y avait un scanner, Internet, et des ordinateurs à l’école...
Il n’existe donc pas de version numérique de ces collages (même si je crois que j’ai dessiné les vêtements sur Illustrator)

Il existe aussi des photos des modèles cousus et portés mais je ne sais pas où elles sont et il faudrait que je les retravaille pour le anonymiser.


J’avais toutefois utilisé l’infographie pour les images de cette collection-ci, toujours pour le BTS...
Les illustrations sont bien plus belles que les vêtements, j’avais un peu abusé des transparences !
Les images de base sont pour la plupart issues de séances de modèle vivant (j’adorais ça !) ou inspirées de magazines.







Les petits derniers sont de ma dernière année de licence, que j’ai fait sans pression, juste pour avoir le niveau bac +3 et passer le concours d’instit (quel bazar ce parcours, Aurélie !)
Et je m’y suis amusée, même si les productions étaient moins finies...




Voilà pour les productions que j’ai retrouvées...
Bon mercredi !


samedi 4 janvier 2020

C’est pas moi la maîtresse....



Aujourd’hui, je vous parle de cette phrase-là...

Mine de rien, c’est fou la pression qu’elle me mettait ! C’est comme si les gens s’attendaient à des miracles, que j’apprenne à leur enfant à compter, à lire ou à se taire en un clin d’oeil...
Vous savez que le pression, je ne la gère pas très bien et je détestais devoir commencer chaque nouvelle relation avec ce malaise...

Je l'ai dit la semaine dernière, j’ai travaillé au périscolaire ces derniers temps. 
C’est ce jour-là que j’ai compris... 


Certains pourraient trouver ça humiliant ou dommage de passer de prof à dame de cantine mais moi, je me suis sentie tellement soulagée... plus besoin de faire des miracles; je pouvais juste profiter de mon après-midi de congé avec mon fils !




Et comme en France, il y a TOUJOURS des exceptions:

Ce jour-là, j’étais quand même super émue-heureuse !

Et des gens qui se trompent !

mercredi 1 janvier 2020

20-20

Et voilà, on y est ! Vingt-vingt !
Que dire ? Évidemment que c’est une tradition et qu’on le dit tous mais je vous souhaite sincèrement de passer une très bonne année, d‘y vivre tout ce que vous espérez  !

Comme je ne sais pas ce que vous espérez vivre (vous pouvez le dire en commentaire) (je me sens comme une influence en écrivant ça !), je vous raconte ce que dont j’ai envie en 2020 : 
trouver ma voix/voie et en prendre soin...

J’ai longtemps voulu faire plaisir aux autres sans même savoir ce que je voulais... 2019 m’a montré que j’avais aussi des envies, des désirs et qu’ils valaient au moins autant je veux des autres. A moi de les exprimer, professionnellement et personnellement...



Pour ce réveillon, j’ai choisi une randonnée aux flambeaux...
Au moment du départ, j’ai eu bien peur, moi qui n’aime ni le noir, ni le froid, et qui ai longtemps eu peur du feu et du sport...
Et pourtant, les étoiles et les feux d’artifices était si beaux vus d’en haut ! 
Et que dire des musiciens qui ont joué  « la ballade des gens heureux », ringard, sans doute, mais peu importé le bonheur a t’il besoin d.etre à la mode ?

Que vos vies soient comme ce réveillon !

*Bonne année !*